Les Tableaux débarquent

Depuis la rentrée le CDI accueille des oeuvres de l’artothèque de Cherbourg-Octeville, nous y sommes allés. Nous avons interrogé Véronique et Dominique, deux employés.

L’artothèque
L’artothèque fut créée en 1983. Les oeuvres sont généralement achetées dans plusieurs endroits, comme des galeries d’art, ou aux enchères. Les oeuvres, souvent de dessinateurs de bande dessinée, ne peuvent être achetées sur internet car l’artothèque est un service municipal. Ainsi, il ya deux subventions de la part de la ville : une pour l’achat des oeuvres, et une seconde pour les expositions.

1500 oeuvres sont disponibles à l’emprunt, mais beaucoup plus sont archivées. Parfois, les oeuvres ne sont pas retournées à l’artothèque à temps, et d’autres peuvent être malheureusement endommagées. Les établissements scolaires peuvent emprunter jusqu’à six oeuvres tous les deux mois, mais ils doivent souscrire un abonnement d’un an.

Pour préparer une exposition, Véronique et Dominique doivent choisir un artiste, quatre à cinq ans auparavant. La première biennale (celle d’Enki Bilal), date de 2002, et douze années ont été nécessaires à sa préparation. Quand les artistes sont d’accord, c’est qu’ils trouvent un intérêt au projet.

En exclusivité, nous pouvons vous dire que la prochaine biennale, en 2015, exposera les oeuvres d’un artiste anglo-saxon.

Et au CDI ?
Depuis la rentrée, deux expositions ont eu lieu : a première sur le portrait/ l’autoportrait, la seconde sur des oeuvres de Tardi. Nous avons travaillé en arts-plastiques et en français sur ces deux expositions dans le cadre de l’histoire des arts.

Le travail de Mathilde : l'autre partie du diptyque de Tardi

Julien & Geoffrey

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