L’interview exclusive de Nathalie Bernard

Dans le cadre du Festival du livre de jeunesse, avec les élèves de Valognes, on a rencontré Nathalie Bernard, une écrivaine et chanteuse.

Auparavant, on a lu son livre Les Coquelicots de Claude Monet.

On a interviewé Nathalie Bernard, qui nous a répondu gentiment. Elle a écrit une quarantaine de livres, et maintenant elle vit de son écriture car ses livres se vendent bien.
Nathalie Bernard adore lire et en particulier Stephen King, et aime écouter de la musique classique ou du rock. Mais elle écrit dans le silence, dans sa cabane, pour éviter les bruits de la maison ou des questions comme « c’est quand qu’on mange ? ».
Avant, elle a fait des études de l’histoire de l’art. Les coquelicots de Claude Monet sont inspirés de faits réels : suite à une rencontre scolaire, elle a appris qu’un des élèves était à l’hôpital pour une leucémie et elle a décidé d’écrire son histoire. C’était une façon de le mettre en avant. Nathalie Bernard adore les coquelicots, ce sont ses fleurs préférées. Nous lui avons offert un bouquet de coquelicots que nous avions fabriqué en classe.

Elle nous a parlé aussi de la mort de son frère quand elle avait cinq ans. Adolescente, elle voyait la vie en noir gothique et son premier livre était sur les vampires.

Actuellement, elle est en train d’écrire une romance, c’est-à-dire une histoire d’amour, inspirée de sa propre histoire.
C’était une belle rencontre, car Nathalie Bernard était souriante, claire et on aurait aimé que cela dure plus longtemps. « Moi, ça m’a donné envie d’écrire », déclare Léo.

Le midi, on a fait un pique-nique Zéro déchet dans le cadre d’un concours entre notre classe et celle de Valognes. Nous avons gagné ce défi et on a été récompensé par une coupe et un jeu. Cette coupe sera remise en jeu l’année prochaine.

L’après-midi, on a été voir un spectacle de la Compagnie du Phoenix. C’était l’histoire d’une petite fille, Roselyne, qui a décidé d’enfermer sa voix dans un coffre, car elle n’aimait pas sa voix.

C’était une belle journée, car on est sorti du collège et on a retrouvé les copains de Valognes.

Les élèves du dispositif Ulis, Collège Zola

Photos